Onzième roman d'un auteur confirmé, apprécié du grand public. Après quarante ans de mariage et quatre enfants élevés (tous mariés), une femme voit dans la séparation la seule façon de "vivre enfin sa vie". Comment réagit l'époux "mou comme un ver de terre" (p. 269) et l'amour est-il définitivement disparu entre les conjoints? Avec une sévérité qu'il justifie parfaitement, R. Martel affirme que cette "immense machine à potins" est "assez semblable aux pires téléromans" et il signale que l'éditeur n'a pas fait son travail (nombreuses fautes). [SDM]