Ma raison d'espérer, vol. 2 / Rebecca Donovan ; traduit de l'anglais (États-Unis) par Catherine Nabokov.Ma raison d'espérer, vol. 2 / Rebecca Donovan ; traduit de l'anglais (États-Unis) par Catherine Nabokov.
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Titre
Ma raison d'espérer, vol. 2 / Rebecca Donovan ; traduit de l'anglais (États-Unis) par Catherine Nabokov.
Auteur
Collection
Description matérielle
601 pages ; 23 cm.
ISBN
9782266246149 (relié)
Autres titres
Ma raison de vivre.
Notes
Traduction de: Barely breathing.
Suite de: Ma raison de vivre.
"Et si le secret d'Emma en cachait bien d'autres?"--Couverture.
Après la fin haletante du premier tome, où l'on se demandait ce qu'il allait advenir d'Emma, ce second opus reprend l'histoire six mois après. Quid de ce qui s'est passé le dernier soir du premier tome et comment Emma s'en est échappé. Rappelez-vous, elle se faisait étrangler par cette ignoble femme qu'était sa tante Carol. Le cours de la vie a repris pour tous les personnages (Emma, Sara, Evan, leurs amis et leurs familles). Les parents de Sara sont les nouveaux tuteurs d'Emma, mais cette dernière décide de donner une chance à sa mère Rachel et de s'installer avec elle. Après un début de cohabitation sans trop de heurts, Emma se rend vite compte que le problème d'alcoolisme et de drogue de sa mère n'est pas du tout réglé. Et Jonathan, le bel apollon et nouveau petit ami de sa mère, s'intéresse un peu trop à Emma. Ce qui compliquera d'autant plus sa relation avec sa mère et avec Evan, son ami attentionné, patient et aimant. Un triangle à trois se dessine. [SDM]
Un second tome beaucoup moins bien construit et intense que le premier. Il y a plein de choses: la mère d'Emma, le père d'Evan, Jonathan, l'université, le sport, les cauchemars. Beaucoup d'éléments, mais on a un sentiment de fouillis. L'histoire est lente à démarrer, rien ne se passe vraiment hormis l'installation d'Emma chez sa mère. Ensuite on voit se dessiner très nettement les grandes lignes de l'intrigue. Et le rythme s'emballe dans les 200 dernières pages avec un final tout aussi surprenant que le premier tome. L'écriture est toujours aussi entrainante, addictive, ce pavé de 600 pages se lit très rapidement. [SDM]
Exemplaires
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Commentaires
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Catalogue:
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