Les mots qu'il me reste : Violette Pesheens, pensionnaire à l'école résidentielle / Ruby Slipperjack ; texte français de Martine Faubert.

Slipperjack, Ruby, 1952-
Titre
Les mots qu'il me reste : Violette Pesheens, pensionnaire à l'école résidentielle / Ruby Slipperjack ; texte français de Martine Faubert.
Collection
Description matérielle
172 pages : illustrations, carte ; 20 cm.
ISBN
9781443156004 (relié)
Notes
Traduction de: These are my words.
 
"Nord de l'Ontario, 1966"--Couverture.
 
Nord de l'Ontario, 9 septembre 1966. Chroniques inspirées du destin Violette Pesheens, une jeune Amérindienne qui entre au pensionnat avec sa soeur, laissant derrière elle sa grand-mère qui les a déposées au train. Là-bas, on lui prend tout article personnel dès son arrivée, dont des cailloux, de plumes et son journal intime. On lui fournit des vêtements où est inscrit au feutre noir le no 75 et s'installe, la faim au ventre, dans le dortoir des filles. Puis, débute pour ces fillettes une nouvelle vie, dont Violette témoigne sans trop de rancoeur, au départ, à travers son journal. Elle communique avec sa grand-mère par écrit et reçoit ainsi quelques nouvelles de son village. Elle effectuera toute sa scolarité dans cette école résidentielle et y obtiendra son diplôme secondaire. [SDM]
 
Récit relatant, à la manière d'un journal intime et de façon peut-être un peu embellie, le sort de ces jeunes pensionnaires à qui on a imposé de nouveaux modes de vie et des valeurs qui n'étaient pas les leurs, tout en les exploitant de diverses manières, comme le mentionne un dossier historique qui apporte, en fin d'ouvrage, un éclairage documentaire sur l'histoire des pensionnats indiens qui s'est échelonnée du début des années 1800 à la fin des années 1900. Le tout est appuyé de photographies d'archives. [SDM]
Variante du titre
Violette Pesheens, pensionnaire à l'école résidentielle
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