Mégane et Rosalie sont des soeurs perpétuellement en chicane. Lorsque leur père a l'idée de les envoyer une semaine dans la vieille maison lugubre de Mamie Léo afin qu'elles apprennent à coopérer les jeunes filles ne réalisent pas encore très bien ce qui les attend. Leur grand-mère est muette et elle vit dans l'obscurité notamment parce que son chat, Pacha, n'y voit rien quand il fait jour. Chaque nuit leur réserve une nouvelle aventure, forçant Mégane et Rosalie à devenir des aventurières en collaborant. Dans ce troisième tome, en feuilletant le gros atlas de Papi Gus, Mégane et Rosalie découvrent l'existence du lac des Marins disparus où serait caché un trésor. Pour retrouver ce trésor, les filles devront affronter bien des dangers. [SDM]

Une série de premiers romans dynamiques, relevés de nombreux crayonnés incluant des phylactères, tandis que des effets typographiques permettent d'accentuer des réactions des personnages ou certains rebondissements de l'intrigue. De lecture facile, la série déploie un canevas propice à une multiplication quasi illimitée des péripéties, du moins en sept jours et sept nuits. La crainte des fantômes et des monstres dans l'obscurité est omniprésente, mais elle est si exacerbée qu'elle en devient plutôt amusante. Dans les dialogues, le texte s'approche du langage oral courant. [SDM]