Le voyage de Darwin / [texte de] Giacomo Scarpelli ; [illustrations de] Maurizio A.C. Quarello ; traduit de l'italien par Didier Zanon.

Scarpelli, Giacomo, 1956-
Titre
Le voyage de Darwin / [texte de] Giacomo Scarpelli ; [illustrations de] Maurizio A.C. Quarello ; traduit de l'italien par Didier Zanon.
Description matérielle
60 pages : illustrations en couleur, carte ; 29 cm.
ISBN
9782377311774 (relié)
Notes
Traduction de: Il viaggio di Darwin.
 
En décembre 1831, Simon Covington, surnommé "Syms", un mousse qui a déjà une excellente connaissance des bateaux, s'embarque sur le Beagle, alors que le navire, considéré comme un véritable cercueil flottant, s'engage dans un deuxième voyage autour du monde. Si l'adolescent de 15 ans, violoniste à ses heures, rêve des terres d'Amérique du Sud, de Tahiti, de la Nouvelle-Zélande et de l'Australie, il se voit mis au service d'un passager bien particulier: Charles Darwin, un naturaliste de 22 ans qui n'a jamais séjourné à bord d'un bateau. Lors de leurs fréquentes escales à l'intérieur des terres, le marin s'interroge sur le travail de ce dernier, lui demandant quel mystère il cherche à résoudre en capturant et en cataloguant des animaux. Il est perplexe quand Darwin lui répond que lui-même n'en a aucune idée, mais en s'inspirant des méthodes d'investigation de son frère policier, le jeune homme viendra en aide au naturaliste afin d'élaborer une théorie des espèces vivantes qui révolutionnera le monde. [SDM]
 
Si les écrits de Charles Darwin concernant les découvertes qu'il a faites lors de son voyage à bord du Beagle sont bien connus, le journal de son assistant, le mousse Simon Covington, l'est cependant beaucoup moins. C'est à travers son regard curieux, candide et alerte que l'on détaille les méthodes de recherche et de collecte de données du grand naturaliste, alors que les questions qu'il se pose trouvent graduellement leurs réponses par divers prélèvements, dont ceux des insectes dans la forêt brésilienne, des oiseaux en Argentine, des fossiles de Patagonie et des reptiles des îles Galapagos. Le texte de près de soixante pages est ainsi très riche tout en se voulant accessible pour un jeune lectorat, mais aucun complément d'information ne vient apporter des spécifications historiques pour séparer la fiction de la réalité. Le tout est abondamment illustré de tableaux vivants à l'encre et à l'aquarelle, mêlant portraits et paysages dans une palette vieillotte. [SDM]
Exemplaires
Commentaires
Catalogue:
recherche rapide
Consulter
votre dossier


Suggestions