Titre
Mam'zelle Lili-Rose, vol. 3 : à bientôt, Toronto! / Louis Laforce.
Description matérielle
398 pages : illustrations ; 23 cm.
ISBN
9782897463991
Notes
Glossaire.
 
Après avoir tourné une publicité de crème glacée et fait des photos pour son portfolio, Lili-Rose et son amie Amélie prennent le train pour Toronto. Elles y passeront l'été chez Mireille, la marraine de Lili, qui a décroché à chacune un contrat de gardiennage dans le petit quartier multiculturel qu'elle habite en banlieue. La première semaine s'avère infernale pour Lili-Rose: les trois enfants dont elle a la garde s'enferment dans leur chambre et boudent les collations qu'elle leur prépare, tandis que leur grand-mère paternelle, qui habite à quelques pas, lui fait clairement comprendre qu'elle l'a à l'oeil. Avec son énergie et son imagination débordantes, l'héroïne réussit toutefois à gagner la confiance et le respect de ses protégés, qu'elle entraîne dans des jeux endiablés organisés en collaboration avec Amélie. Jusqu'à ce qu'elles craquent toutes deux pour Spencer, un séduisant voisin. Serait-ce la fin de leur amitié? Parallèlement, Lili se rapproche de sa tante, qui lui fait découvrir quelques attractions incontournables de la ville entre la tour du CN, un match des Blue Jays, une soirée musicale au Shadow Club, les sorties au Canada's Wonderland et au festival de théâtre, etc. [SDM]
 
Troisième opus d'une série relatant le quotidien sans gravité d'une jeune adolescente lambda plutôt sage, qui aspire à devenir actrice de cinéma. Tranches de vie amoureuses, familiales et amicales se succèdent sans véritable surprise, pimentées ici par les aléas de son gardiennage estival. Différents palmarès (chansons québécoises préférées, chansons pour danser, films des années 1990 aussi drôles que romantiques, choses qu'elle préfère en forêt, pizzas favorites, mets favoris quand elle était petite, etc.) viennent pimenter le journal de l'adolescente, dont l'action est campée à la fin des années 1990, que l'auteur présente en préface comme une "époque pas si lointaine et pourtant très différente: on ne s'y prenait pas en selfie et on ne textait pas ses amis à toute heure. Pour entendre sa chanson préférée, il fallait soit acheter l'album complet chez un disquaire, soit en faire la demande à une station de radio." (p. 5). Un lexique démystifie d'ailleurs toutes les références à la culture pop de l'époque effectuées au fil du récit, du fameux walkman jaune aux chansons, films, acteurs ou émissions de télé qui avaient alors la cote. [SDM]
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