Nadège et les sept petits hommes : un conte des frères Grimm / librement revisité par Olivier Dupin ; et illustré par Séverine Duchesne.

Dupin, Olivier, 1979-
Titre
Nadège et les sept petits hommes : un conte des frères Grimm / librement revisité par Olivier Dupin ; et illustré par Séverine Duchesne.
Description matérielle
27 pages non numérotées : illustrations en couleur ; 31 cm.
ISBN
9782352414964
Notes
"Le conte revisité et sa version d'origine (abrégée)"--Page 4 de la couverture.
 
Libre adaptation du conte Blanche-Neige des frères Grimm.
 
Tout le monde connaît ##Blanche-Neige et les sept nains##, mais tel n'est pas le cas Nadège, une fillette avec un prénom un peu moins farfelu qui possède, elle aussi, des cheveux noirs comme la nuit, une peau blanche comme la neige et des lèvres rouges comme des cerises. Suite à la mort de sa mère, dévorée par un ours qu'elle avait pris pour un écureuil, son père se remarie avec une femme belle, mais un peu chipie, qui passe ses journées à faire des égoportraits et à demander à ses abonnés sur Bastagram si elle est belle. Lorsque Nadège grandit, ces derniers lui font remarquer qu'elle est jolie même sans se maquiller, ce qui met la nouvelle reine en colère. Commandant à un chasseur de lui faire une coupe de joueur de soccer de l'ancien temps, le coiffeur improvisé prend pitié de la pauvre et la laisse s'échapper. Nadège trouve ainsi refuge dans une maisonnette habitée par sept petits hommes qui acceptent qu'elle demeure avec eux, pourvu qu'elle fasse le ménage. Suite à un cliché croqué par un paparazzi, l'affreuse belle-mère la retrace cependant et lui vend un robot multifonction sous les traits d'une vieille marchande... [SDM]
 
Grâce à un humour tout à fait contemporain, cet album réinterprète le conte classique à l'honneur à quelques différences près, de sorte que Nadège débouche les lavabos et tond la pelouse des petits hommes, ne se fait pas empoisonner parce que sa belle-mère oublie sa mission réelle et dort après avoir dévoré sa tarte, ce qui fait penser à ses colocataires qu'elle est morte. Le miroir est ainsi remplacé par un calque d'Instagram pour faire une petite critique du culte de la beauté sur les médias sociaux au sein de cette histoire au rythme trépidant. De leur côté, les illustrations sont dynamiques, mêlant esquisses au crayon et peintures de synthèse. [SDM]
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