Titre
Le trésor de Crésus / Xavier Bétaucourt, Paola Antista.
Description matérielle
56 pages : principalements des illustrations en couleur ; 31 cm.
ISBN
9782822236645
Notes
"Scénario: Xavier Bétaucourt ; dessin: Paola Antista"--Page 2.
 
Les parents d'Eve et de Mia ont entraîné leurs filles jumelles dans un périple autour des îles grecques en voilier, mais ces dernières commencent à en avoir marre de la vie en haute mer, particulièrement suite à une tempête qui les frappe de plein fouet sans que leur père voie celle-ci venir. Contrainte d'accoster sur une île inconnue, mais paradisiaque, la famille se laisse convaincre par les gens prévenants de l'endroit de rester sur place plus qu'un après-midi. Les insulaires semblent tous jeunes et beaux, mais aucun enfant ne vit parmi eux, ce qui explique, selon Eve et Mia, leur intérêt pour elles. Or, quand des cauchemars viendront les hanter, elles découvriront que leurs raisons sont beaucoup plus funestes que ce qu'elles paraissent. Dans ce troisième opus, à la recherche de leur mère, Eve et Mia explorent le village qu'elles ont fui pour découvrir ce dernier désert. Seule une statue en or, qui n'était pas là auparavant, au pied de laquelle se trouvent des offrandes leur laisse entendre que les lieux sont toujours habités. Ils assistent néanmoins à l'enfermement d'un garçon qu'ils ont libéré de la grotte d'Astarté aux mains de mystérieux soldats. Celui-ci les informe que leur mère a fui en compagnie des vieux de l'endroit juste avant que cette délégation débarque par la porte de Janus. Eve, Mia et Peter seront-ils de taille à lutter contre l'avidité de ces chercheurs d'or? [SDM]
 
Dans une prémisse qui peut rappeler celle de ##Wicker Man## (traduit au Québec sous le titre: ##L'homme de paille##), une communauté insulaire attire des étrangers dans leur lieu de résidence retranché afin de les utiliser en sacrifice pour un rite païen. Ce sont ici les enfants qui sont convoités par les habitants de cette île grecque, alors que les cauchemars envoyés par ces derniers pour les affliger prennent des proportions réelles. La trame devient ainsi difficile à suivre par endroits, mais s'égaie de graciles dessins où s'opposent des rouges orangés et des mauves chatoyants. [SDM]
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